nerf-a-bloc

Ecrire c'est crier en silence

Dimanche 29 septembre 2013 à 23:10

"On ne réalise la valeur des choses que lorsqu'on ne les a plus."
[Quentin, petit coeur, tu me manque tellement... Je t'aime. #8] 
http://nerf-a-bloc.cowblog.fr/images/M54.jpg C'est un ras le bol général, marre des gens, de l'hypocrisie de ce monde. Ils me déçoivent tous, tout comme moi. J'aimerai pouvoir me retrouver, comme avant. J'aimerai redevenir celle que j'étais, une fille droite, qui savait rire sans se forcer. Ca fais bien longtemps qu'elle a disparu. A croire qu'elle ne reviendra plus. On me dit de garder la foi, de croire en ce qu'y n'a plus d'espoir. Je suis épuisée, épuisée de ces longues nuits torturées par mes pensées, par mes souvenirs et surtout mes regrets. Je suis épuisée de courir après les occupations pour ne pas rester seule, face à moi-même. La réalité est trop effrayante, trop douloureuse...
Vendredi il m'a fait une remarque, une remarque que j'aurai préféré ne pas me prendre en pleine face. Depuis j'y repense sans cesse, je me demande si ça ne cessera pas un jour. J'aimerai arrêter de courir après se rêve, tourner la page, l'arracher, une bonne fois pour toute. Il n'y a donc plus d'issue favorable? Suis-je condamnée à faire tout pour recommencer une histoire qui a mal tourné car j'ai été trop conne, car nous n'avons pas su nous dire les choses, car nous avons été dépassé par les événements, surement pas assez mature pour l'assumer...
J'aimerai, une bonne fois pour toute, pouvoir t'affronter, te parler, face à face, rien que tous les deux. J'aimerai pouvoir te dire à quel point je souffre sans toi, à quel point je n'arrive pas à garder ma voie sans toi. J'aimerai pouvoir t'expliquer mon comportement, j'aimerai pouvoir te dire tout simplement ce que j'ai sur le coeur. Je voudrai que tu comprennes ce que je ressens quand tu passes devant moi, que tu ne me regardes même plus, que tu ne me souris plus. C'est un vide que je n'arrive pas à combler. Un vide que je ne supporte plus. Si seulement tu savais, si seulement tu me disais ce que toi tu ressens. Je voudrai être dans ta tête, connaitre tes pensées, savoir si tu penses à moi, si tu parles de moi, si ça te fais mal de me voir. Est-ce que ce que je suis devenue te déçoit? 


Car ce week-end j'ai surement été trop franche, la vérité ne fais pas forcément de bien mais là se fut la goutte d'eau qui à fais déborder le vase et créé un ras de marrer. Tu aimerais que je regrette, malheureusement se ne sera jamais le cas.

Samedi 21 septembre 2013 à 18:38

 " - ... Donc ça fait 58 daltons...
-A bah comme ça ils arriveront peut être à braquer une banque ! "
[Parce que les L1 chimie on a au moins de l'humour ! _ G]

http://nerf-a-bloc.cowblog.fr/images/PRIP84997632411.jpgParce que je déprime chaque fois que je te vois, nos regards échangés ne sont plus les mêmes, ils sont plein de larmes, mais c'est comme si tu ne remarquer rien. Ou bien tu ne montre rien... Je voudrai juste un signe qui me prouverai qu'au moins tu n'as pas oublier nos bons moments... Je voudrais tellement de choses qui sont pourtant rien. Tu me manque tellement... La distance me fais de plus en plus mal... J'espère qu'un jour on sortira de cette impasse.
Voilà, la première vraie semaine de fac est passé. Après deux semaines de pré-rentrée nous avons découvert ce que va être notre vie durant au moins trois ans. Certaines personnes la connaissait déjà cette vie. 
Un petit groupe commence à se former, on partage nos premiers moments de rire, et de galère aussi. Globalement ça ce passe bien. Tant mieux me direz vous.. #8, petit coeur, je t'aime.

Dimanche 15 septembre 2013 à 15:24

"j'ai pas eu l'courage de lui dire
que j'suis tombé love
j't'avoue c'est fou comme elle m'attire
son regard vaut de l'or"
[Amour secret _ Ridsa]
http://nerf-a-bloc.cowblog.fr/images/dessindepeytononesttousdifferent.jpgEn ce moment je dérape. Je fais des choses qui ne me ressemblent pas, je vais à l'encontre des valeurs qui font ce que je suis, je rentre dans la banalité, LEUR banalité. J'agis en pensant que ça arrangera les choses, j'agis n'importe comment, je ne réfléchis plus. Je ne me reconnais plus, et le pire c'est que personne est là pour me stopper, personne ne réagit, personne ne le remarque. Je vais mal et comme je me cache derrière une hystérie les gens pensent que je vais bien. 
Encore une fois je me réfugie dans mon monde, dans ma musique, dans ma chambre. Il y a que dans ma bulle que je me sens à ma place. J'ai toujours eut peur de la banalité et pourtant j'ai de plus en plus l'impression de ne plus être différente. Je pense comme eux, j'agis aussi bêtement qu'eux. 
Encore une fois je me suis réveillé en criant ton nom, encore une fois j'ai réalisé que tu n'étais plus là et que ça ne changerai pas. Ca en devient une habitude en ce moment. Je suis ridicule. Et pourtant je pleure toujours autant quand je me réveille...

ILS NE SONT PAS TOI 

Dimanche 8 septembre 2013 à 20:58

"Juste le temps d'un instant, voir la vie autrement, se dire qu'il acceptera nos prières, que demain sera mieux qu'hier..."
[Le temps d'un instant _ Psy4 de la rime]

 En début de semaine j'ai eu un petit coup de mou, certes je l'avais prédis: j'ai réalisé encore une fois ce qu'est la douleur de l'apercevoir, elle a empiré quand je me suis dis qu'à partir de ce jour ce sera tout le temps comme cela. Au début j'étais seul, perdu dans le campus, sans oser envoyer de message aux personnes qui étais potentiellement là-bas. C'est dans le noir que j'avançais tout en savant que la clarté n'était pas loin. J'ai eu raison d'y croire. Une fois le chantier de la rentrée terminer j'ai eu l'occasion d'apercevoir ce que va devenir m'a vie. Une vie d'étudiante, accompagné d'amis qui deviennent de plus en plus important au fil des jours. 
J'ai aussi vu que l'on pouvait retrouver confiance en soit par des petits gestes simples, par des petits attentions, un message, un câlin, un compliment de personnes qui vous entoure. J'ai enfin compris que si tu donnes un peu de chance à la vie, si tu es ouverte au bonheur sans te renfermer sur toi même, sans te laisser abattre par les petits aléas, la vie saura plus rose.
Parce qu'on se confie, on pense la même chose ou pas, on se rapproche petit à petit, on partage, on vit, on rit . J'aime le temps passé avec toi, avec lui. 
Ah oui j'oubliais ! On récolte que ce que l'on sème, alors aujourd'hui c'est à toi qui paye.


Tu me manque Quentin, et j'aimerai bien savoir ce que ça te fais de me voir tous les jours... Je t'aime.

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