nerf-a-bloc

Ecrire c'est crier en silence

Vendredi 24 février 2012 à 14:40

"On se reverra que si l'on se rencontre en coupe, à moins que tu n'ai plus envie de me voir..."
[A. comme abruti mais aussi Anthony.]
http://nerf-a-bloc.cowblog.fr/images/hfvusid.jpg Un match de basket c'est quoi ? C'est quarante minutes de jeu, quatre quart temps de dix minutes. C'est deux équipes de dix joueurs, cinq sur le terrain et cinq remplaçants. Ce match là, c'est les quarts de final, soit deux équipes avec un niveau relativement élevé. C'est de la compétition, du suspens, un vainqueur, un perdant. Alors je pense qu'il n'a pas le droit de m'imposer ce... Je sais même pas comment définir "son choix". Je pense qu'il n'a pas le droit d'imposer le fait qu'on se revoit seulement si l'on se rencontre lors de la demi-finale. Ca veut dire que pour se revoir, il faut non seulement que mon équipe gagne son match, mais aussi que son équipe gagne. Enfin, il faut que j'ai assez de chance pour qu'au tirage au sort son équipe soit désigné comme adversaire à la mienne. En gros autant me dire qu'on ne se reverra pas... Je suis dégoûtée et croyais moi, si une des équipes demain perds son match, je pense que je péterai un câble. Alors oui à la base ce sera juste un match, un match de quart de final, ce qui fait déjà monter la pression, mais pour moi ce sera bien plus. Alors je serai là, dans les tribunes, pour encourager car ce sera le maximum que je puisse faire. 
Je compte vraiment sur cette équipe...

Samedi 18 février 2012 à 20:43

 " Arrêtez, malheureux !... vous osez profaner... ! tu m'adores !... Va ! tu n'es plus dangereux pour moi ; j'attendais ce mot pour te détester. Mais avant de t'abandonner au remord qui t'attends, (En pleurant.) apprends que je t'aimais ; apprends que je faisais mon bonheur de partager ton mauvais sort. Misérable Lindor ! j'allais tout quitter pour te suivre. Mais le lâche abus que tu as fait de mes bontés, et l'indignité de cet affreux comte Almaviva, à qui tu me vendais, ont fait rentrer dans mes mains ce témoignage de ma faiblesse. Connais-tu cette lettre ? "
[Rosine _ Le Barbier de Séville de Beaumarchais]
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Alors tu vois c'est quand t'es comme ça que je commence à te détester ! C'est lorsque tu me parles tout gentiment parce que et seulement parce que tu as besoin de moi, qu'il vient en moi la force de te détester. Et pourtant... Pourtant dieu seul sait à quel point je t'aime, à quel point tu pourris mon morale en ce moment car le seul à qui je pense, car le seul avec qui j'ai envie d'être c'est TOI. Tu vois c'est parce qu'il existe des gens comme toi que j'ai envie de bannir les contes de fée avec leur prince charmant, bannir toutes ces séries et films américain qui se termine bien; car si tout ça est banni on n'arrêtera peut être de croire qu'un jour les gars seront sincères et pensent toutes leurs paroles. Et le jour où une fille aura la chance de tomber sur un gars sincère, alors là elle pourra y croire et rêver dans son petit paradis. Aujourd'hui la valeur des mots n'est plus ce qu'elle était. Avant on disait je te déteste avant de dire je t'aime, alors qu'aujourd'hui on dis je t'aime à tout bout de champs sans savoir ce qu'il signifie vraiment. La définition de "mot" maintenant c'est juste: assemblage de syllabes constitués de lettres... Cette article part dans tous les sens, je vous le confirme. Je l'ai écris sur le coup de la colère. Sa fais du bien parfois d'écrire, même si ça n'a aucun sens.

Samedi 11 février 2012 à 17:59

"Elle vit sa vie
Elle vit suivant sa route en dépit de ce que les gens aiment
Elle vit sa vie
Elle vit en espérant qu'on ira un jour en tandem
Moi qui l'ai vu quand elle lisait 
la lune avec son ambition
Cette vie qu'elle idéalisait
Elle n'en compte plus les désillusions
Elle voulait juste qu'on l'aime
Oh oh elle voulait juste qu'on l'aime..."

[Elle vit _  Taïro]
http://nerf-a-bloc.cowblog.fr/images/P11021217170001.jpgAlors je suis là, à m'occuper l'esprit pour ne pas pensée à toi, à nos moments, à tes belles paroles qui me manquent. Je là à faire mes leçons, des crêpes, faire du ménage, j'ai tout essayer pour me vider l'esprit, rien à faire. Il va toujours y avoir un moment où je vais me déconcentrer, écrire ton nom sur une feuille, laisser brûler une crêpes, m'arrêter et me dire qu'il y a encore peu de temps tu étais assis là, j'étais dans tes bras... Tous ces détails qui apparemment ne te manque pas. Je vis au rythme de mes crises d'angoisse, et de pleure aussi, la nuit je dors peu et quand je me réveille je te cherche mais tu n'es toujours pas là. Tu vois avant samedi je ne pensais pas t'aimer autant, et puis tu m'as dis que tu partais et là... Je sais que c'est toi qui compte à mes yeux, je sais que pour moi ça ne peut pas être la fin. Alors j'aimerai simplement que tu te rappel la première fois que tu m'as dis je t'aime. Ce jour là tu m'as dis que tu ne pensais pas que je t'aimais plus que toi  tu ne m'aimais. Je t'ai répondu que ce n'était pas possible. Aujourd'hui j'en ai la confirmation.
Je t'aime A.


Dimanche 5 février 2012 à 16:59

" Je crois..."
[A.]

http://nerf-a-bloc.cowblog.fr/images/P04021208150001.jpgJe crois, deux mots. Je crois que c'était la fin. Je crois que je n'y arriverai pas. Je crois que tout ceci n'est pas réel. Je crois que j'ai rêvé. Je crois que je me suis encore brûler les ailes. Je crois que je suis stupide. Je crois que j'espéré trop. Je crois que ceci va en arranger certains. Je crois que je craque. Je crois que ce n'était que des paroles, que des belles paroles. Je crois que la sincérité n'existe plus. Je crois que tu as fais une erreur en essayant. Je crois que j'ai mal. Je crois que je n'arrive pas à digéré. Je crois que j'espère encore. Je crois, je crois ... Deux simples mots, des mots qui était juste le début de ta phrase, mais la fin. 
Alors me revoilà, j'ai mal, je pleures, j'espère un message me disant que tu t'es trompé. Me revoilà au point de départ... Au fond certains en seront ravis.

Regarder par la fenêtre, l'étendu de ce "beau" tapis blanc, les larmes aux yeux, et avoir envie de disparaître au bout de cette étendu infini.
"Je dis tout bas sans ombre et sans armure, que rien ne dure ... " [Je dis tout bas _ St ex.]

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